un régal de rythmes joyeux et de clins d'il sonores
dont l'intérêt, hormis celui de nous faire passer
un moment de plaisir festif, est d'élargir le domaine des
musiques latino que l'on peut entendre ici et là
Allégresse !
Claude Ribouillault - Trad Magazine - Février
2004
"El
Camaleón" : une réussite pour un petit Français
d'Orléans qui fait résonner sans complexe et avec
originalité les musiques, sons et rythmes des Amériques
du Sud.
Henri Cordier - Accordéon Magazine
- Février 2004
Laissez-vous
embarquer pour un voyage latino-américain avec Robert Santiago
qui depuis 25 ans, écume les routes sud-américaines.
Mélangeant allègrement les genres, il nous fait
goûter à un répertoire varié avec comme
fil d'Ariane, son accordéon festif. Vive l'accordéon-caméléon
!
Vocable espagnol - Février 2004
ce disque génial où accordéon diatonique
et chant orchestrent une drôle de valse entre cha-cha, cumbia,
mambo ou boléro et osent même une relecture amusante
des standards latinos les plus éculés
une
énergie festive qui force le respect.
Elisabeth Stoudmann - Vibrations - Mars
2004
Un
trublion exotique se camoufle dans l'accordéon pour savourer
la rumba et la java et les fondre dans la cumbia et le vallenato
colombien, l'air de rien !
LYLO - Mars 2004
le secret le mieux caché du Paris latino
"
El Camaleón " est une synthèse réussie
entre les bals latinos et l'imaginaire sud-américain véhiculé
par Manu Chao et consorts.
Nova Mag - Mars 2004
La
musique de Robert Santiago est riche en influences
le résultat
est surprenant et la joie de vivre prédomine dans cet opus.
Si le terme " world musette " vous est familier, ouvrez
vous à la musique de Robert Santiago, voyage garanti !
mcm.net - Mars 2004 (album en écoute)
Au
rayon des excentriques flamboyants, Robert Santiago sera ce soir
à La Maroquinerie pour fêter son premier album "
El Camaleón "
Du Texas à la Terre de
feu, Robert Santiago a promené son accordéon partout,
enregistrant des sambas, des chansons, des danses
changeant
de rythme comme le caméléon qui donne son nom au
plus beau morceau de cet album gorgé de soleil et de déhanchements
sensuels.
Yves Jaeglé - Le Parisien - 22 Mars
2004
Robert
a choisi de placer sa nouvelle production sous le signe du caméléon.
Quoi de moins étonnant à l'écoute de ce CD, car même s'il nous
promène de République Dominicaine à la Cordillère des Andes, il
parvient à trouver une ambiance suffisamment personnelle pour
donner à cette balade un confort et un coulé fort agréables !
D'abord, soulignons l'originalité du produit. D'une part l'accordéon
sud américain est peu connu en France et Robert en est sûrement
le précurseur. D'autre part sa façon de jouer nous change franchement
du jeu folk européen dont il faut bien dire qu'il est en train
d'enterrer une nouvelle fois ce pauvre instrument qui décidément
doit avoir un karma bien chargé ! … Robert joue vraiment de l'accordéon,
et en plus (tant mieux pour nous, même si pour lui ce n'est pas
fondamental !), de l'accordéon bi-sonore !
Le CD, constitué essentiellement
de compositions (dont quelques unes de lui !), traîne un enthousiasme
sans faille. Aucune baisse de régime, 18 titres qui coulent, impétueux
et colorés comme l'Amazone.
En outre l'accordéon n'est pas un
alibi, il ne se repose pas dans un coin, il travaille ! Les percussions
sont omniprésentes mais utilisées avec finesse et pertinence,
la voix est impeccable dans cette sauce qui prend immanquablement
dès les premières notes de chaque morceau. Autre nouveauté : tous
les titres sont bons ! Rien à jeter dirait Brassens !
Ajoutons quelques ambiances " de là-bas ", disséminées par-ci
par-là et qui donnent à l'ensemble un indécrottable aspect
sympathique, et vous aurez l'un des deux ou trois CD's de
diatonique les plus intéressants depuis longtemps …
Yann Dour. In " La Feuille " N° 43 mai-juin
2004
Robert
SANTIAGO et les musiciens de son ORCHESTRE TYPIQUE viennent
de France, mais c'est en Amérique du Sud qu'ils nous emmènent
avec ce disque. Et l'Amérique du Sud, on peut dire que Robert
SANTIAGO la connaît aussi bien par le biais de sa collections
de disques que par ses voyages. Dans cet album, on peut
d'ailleurs entendre des bribes d'enregistrements qu'il a
réalisés entre 1983 et 2003 dans les rues (et même dans
un bus) en Bolivie, au Pérou, en Équateur, en Colombie,
au Vénézuéla et en République Dominicaine. Un morceau, San
Juan, est entièrement joué par un vieil accordéoniste enregistré
dans les rues de Quito (Équateur).
Robert SANTIAGO, au chant, à l'accordéon diatonique et aux
nombreux autres instruments (accordéon russe, cuatro vénézuélien,
quena, harmonica, maraca, etc.), est entouré d'Eric L'HEUDÉ
à la batterie de percussions, François LALANGE à la contrebasse
et à la basse et Vincent VIALA aux pianos et claviers, les
trois musiciens de L'ORCHESTRE TYPIQUE assurant également
les chœurs.
Le groupe, à travers les dix-huit morceaux de cet album,
ne se contente pas de nous rappeler les danses qui firent
le succès des orchestres typiques dans les années 1930 (cha-cha,
mambos, boléros, valses, rumba), il nous fait découvrir
des musiques moins connues en Europe mais tout aussi festives
: bombas afro-équatoriennes, merengue, paseo, valse créole,
forro, etc.
Quelques invités sont venus se joindre à l'orchestre, pour
notre plus grand plaisir : le QUARTET BUCAL sur trois titres,
et le duo BARON-ANNEIX à la bombarde et au binioù-koz sur
El Camaleón. Mathieu PION, l'ingénieur du son de l'orchestre,
a réalisé pour le final un "remix" audacieux de La Democracia,
où se mêlent à la musique des bruits, des voix et des ambiances
témoignant de souvenirs de voyages.
Pour le plaisir des jambes, mais aussi pour celui des oreilles.
Sylvie Hamon.
Chronique parue dans la revue www.ethnotempos.org, N°16
de mai 2005.
El
Camaleón a reçu un " Bravo ! " de Trad
Mag et le soutien de Radio Latina 99.0