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Robert
Santiago et son orchestre typique
....plus
d'infos
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En
solo, en duo (avec D. Roussin ou N. Amelot à la guitare),
en trio (avec F. Lalange à la basse et E. L'Heudé
aux percus), en quartet (avec V. Viala au piano), puis en quintet depuis 2005 (avec S. Vargas aux petites percussions et choeurs)
l'histoire du groupe se dessine au fil du temps, et son évolution
suit une voie dictée par les rencontres et par des inspirations
nouvelles que ne manquent jamais d'apporter chaque voyage de Robert
Santiago dans le Sud des Amériques.
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Tout
comme un peintre, le groupe a connu des périodes, définies
par le travail, l'approfondissement et l'assimilation de formes
spécifiques : période Tex-Mex, période Forro,
période Vallenato
chacune de ces formes a laissé
de profondes traces dans l'interprétation actuelle de l'Orchestre
Typique et aujourd'hui, mûri par l'expérience, il est
capable de jongler avec les rythmes, les phrasés, les couleurs,
et se plait à passer d'un univers à l'autre ou à
métisser ces diverses formes : il en résulte un paysage
musical latino recomposé, festif, dansant en diable et très
diversifié.
Cet
orchestre, qui peaufine son répertoire et son interprétation
particulière en répétitions régulières,
est une espèce d'atelier (de " workshop "), dans
lequel chaque musicien tente de trouver un langage propre, apte
à traduire au plus près le " sentimiento "
des musiques du continent hispano-américain.
Il ne propose pas de la musique traditionnelle au sens strict
du terme, même si le répertoire en est largement
inspiré : il soumet plutôt au public une vision personnelle
dessonorités, des rythmes et des couleurs qui font le charme
de ces musiques. Et quand on regarde de plus près, on s'aperçoit
que la composition de l'orchestre ressemble plutôt à
celle d'un orchestre musette d'avant guerre, plus traditionnel
à Paris qu'à Quito ou Bogota !
L'Orchestre Typique de Robert Santiago c'est en quelque sorte
: " les pieds ici, le cur là-bas " !
La
recherche du répertoire (reprises ou compositions originales)
reste une des tâches les plus délicates que Robert
assume, dit-on, avec une patience d'entomologiste. Cette recherche
commence toujours par un coup de cur musical pour une forme,
un style ou seulement une chanson
vient ensuite l'envie
d'en savoir plus, qui aboutit souvent à un voyage sur les
lieux du " délit " ! fêtes, festivals,
concerts, radio, luthiers, mendiants au coin des rues
tout
ce qui produit un son passe par son magnétophone-moulinette
qui saisit des instantanés, des photos sonores.
De retour en France, il endosse les bretelles de son accordéon
et exploite la mine de ses souvenirs de route. Paradoxalement,
il revient très peu sur ses bandes enregistrées
mais fait surtout confiance à sa mémoire qui, subjective
par définition, agit comme un prisme pour recomposer les
ambiances musicales vécues sur place : les arrangements
personnels s'imposent alors, au-to-ma-ti-que-ment !

En concert, l’orchestre propose un parcours de divers styles, de diverses inspirations puisées dans les musiques populaires du « Mexique à la Terre de Feu », avec beaucoup de chansons (en espagnol, bien entendu) et des compositions signées Santiago.
Et si l’ambiance se met à la danse, l’interprétation subit quelques modifications et les musiciens laissent alors libre cours à leur fantaisie dans des improvisations dont la longueur dépend de l’énergie des danseurs !
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